Utilisateur:BRIGITTE HACHIN

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Le logis des pipistrelles

Comment ke sas présente?

1- Actualités du refuge et de ses alentours

2- Retards sur actualités

3- (En)quête de l'oiseau rare

4- Drôles d'oiseaux

5- Animaux de tous poils

6- Présentation du refuge: promenade intemporelle


1-Actualités du refuge et de ses alentours 

 

Mercredi 30 novembre 2013     

Je n’y crois toujours pas, j’ai vu de mes deux propres yeux, dans le petit champ derrière le hameau, une grande aigrette.

Il faut dire que mon homme en avait déjà aperçues dans les prairies bordant une petite rivière à quelques kilomètres de là, mais relativement loin de chez nous.

Deux options se présentent à moi pour faire le trajet de mon travail à la maison. Ma nature prenant le dessus, je ne choisis pas la simplicité de la nationale toute droite ; je préfère la deuxième option, route tortueuse et défoncée, exploration de ma boîte à 6 vitesses, mais qui traverse une campagne très variée et la forêt, toujours à l’affût du moindre mouvement animalier.

De cahotements en sauts au plafond, je regagne mon domicile en jetant un œil par ci et par là. Hélas parfois je ne suis pas seule, vite rejointe par un pressé qui me serre aux fesses. Hors de question de suivre un rythme imposé, sollicité, avec toujours la crainte si je freine de l’avoir dans le popotin. Je me range et laisse passer l’olibrius qui en profite pour mettre le pied sur l’accélérateur.

Ce mercredi là, j’approche du hameau, badant toujours de droite et de gauche, un jour avec plusieurs nuances de gris, du sol au plafond. Et soudain, se détachant sur ce fond uniforme, une tache blanche immaculée. Je tourne à nouveau la tête, que je visse et dévisse pour ne pas aller dans le décor et suivre approximativement ma petite route. La tache se précise en un bel oiseau blanc, élancé, fin et gracieux. Aucune hésitation malgré le balai incessant de ma tête, c’est bien une grande aigrette. Je vous laisse deviner quel fût mon problème. Evidemment, pas d’appareil photo dans la voiture ! Je l’ai admirée et suis partie, très très heureuse mais avec un gros gros remord de ne pas pouvoir continuer à la regarder grâce à ma boîte à image. Je ne peux que la penser, me la figurer, l’imaginer, la rêver revenant près de chez nous, exercice qui me sied bien.

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                       Grande aigrette aperçue par mon homme à une dizaine de kilomètres, il avait un appareil photo...lui!

2- Retards sur actualités

Le site ayant été lui aussi en vacances, j’ai eu le temps de faire quelques nouveaux aménagements pour les insectes et batraciens

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et d’avoir quelques visites supplémentaires

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                  La mésange à longue queue                                                                 Tendresse ramière


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        Printemps pluvieux printemps limaceux                                     Grenouille agile tel est son nom


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 Un été chaud et sec et un garde-manger délicat pour nos oiseaux insectivores, avec un point commun, le buddléia, arbuste invasif mais ô combien papillophile. Pour l’invasion, nous maîtrisons, nous brûlons les graines.

D’autres visites hétéroclites

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            Jeune bergeronnette printannière                                                               Bébé hérisson

C’est déjà le début de l’automne et pour la première fois le pic épeiche a élu domicile dans le jardin, traçant des traits louvoyants du chêne vénérable à la haie, de la haie au chêne junior et du chêne junior au chêne vénérable ; le jardin est ainsi « triangulé » version à trois du quadrillage.

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                                                                          Pic épeiche à l'affût

En fait, il n'est pas tout seul...deux...il se cache dans le noisetier.

Jeudi 24 octobre 2013

Pour la première fois dans le coin, un groupe de 6 milans ( plutôt royaux, difficile à déterminer à contre-jour ) passent au dessus du jardin en tournoyant et en progressant vers le sud-ouest. Migration ? ou pas ?

Vite, vite les jumelles, et va y que je te cours à la maison et que je te reviens et que je t’ajuste tout ça…royaux, pas royaux, royaux, pas royaux…ça dure, et l’appareil photo tu y as pensé ? Heu, ben non…banane !

Gros, gros remord.

Vendredi 25 octobre 2013

Une perdrix rouge fait son apparition dans le pré d’à côté ; cette fois-ci je me suis jetée sur le téléobjectif.

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  Toujours près d’une haie et à bonne allure afin d’éviter les chasseurs, espèce en voie d’augmentation par chez nous

3-(En)quête de l'oiseau rare

Voyage en val de Loire

Nous avons fait un beau voyage…sur la Loire, à bord d’une toue sablière. Nous souhaitions nous imprégner de la nature locale. C’est fait !

Nous étions tout petits, au milieu de ce paysage infiniment grand de ce fleuve majestueux, mi-sauvage, mi-civilisé.

Image:Côté_sauvage_val_de_Loire.jpg Côté sauvage Image:Côté_endigué_val_de_Loire.jpg Côté endigué

De nombreuses îles ponctuent le cours d’eau.

Image:Ile_val_de_Loire.jpg  Belle île Image:Autre_île_val_de_Loire.jpg et belle île

Les oiseaux se cachaient un peu en ce mois d’avril et en cette rare belle journée, tous n’étant pas encore revenus de migration. Nous avons aperçu juste quelques autochtones.

Image:Hérons_val_de_Loire.jpg 

                            Héron                                                héron

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                   ...petit patapon en vol

Image:Colvert_val_de_Loire.jpg Colvert Image:Colverts_val_de_Loire.jpg Colverts

Un petit peu redondant mais chouette tout de même.

Et au détour d’un méandre, bien planqué, signalé par notre guide, un crève-cœur…

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                             Un affût de chasse

Voyage conseillé aux amoureux de nature et par nature mais pas aux chasseurs.

4-Drôles d'oiseaux

5-Animaux de tous poils

Promenade intemporelle autour du hasard et de la nécessité


Ce refuge est né officieusement de la nécessité de changer de maison car elle devenait trop petite au regard de nos ambitions diverses. La route qui la desservait et les voisins qui la jouxtaient trop grands, trop envahissants.
Le hasard fut la découverte du terrain qui allait accueillir notre nouvelle résidence, lors d’une balade en vélo.
L’intemporalité se matérialise dans la construction d’une maison contemporaine en ossature bois, à proximité d’un chêne multi-centenaire.
Quant à la promenade, nous vous y invitons dans la description de notre refuge de la biodiversité.

En voici une vue aérienne :

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Avant de parler du jardin que l’on imagine naturellement comme premier lieu accueillant une multitude d’hôtes, parlons d’abord de la maison.
Notre architecte, fervent adepte depuis longtemps de la protection environnementale, nous a admirablement conçu la version française de la maison dans la prairie, il y a déjà huit ans.
Il était loin de s’imaginer que les habitants, au départ quatre individus, se multiplieraient de façon exponentielle.
Hormis les habituels insectes de toutes pattes et tous poils, nous hébergeons du sol à la toiture l’inventaire de Prévert :


- des lézards gris, un brin flemmards, qui adorent la dalle de béton et ses moindres fissures ; le temps travaille pour eux.

Image003.jpg   Un bel exemple

- un crapouillot pudique dans le bassin sur la terrasse, qui vient se tremper le postérieur, le soir, quand personne ne le regarde ; voire quelques fois dans la piscine et là ce sont les « urgences » qui interviennent, dans un repêchage immédiat.


- une rainette verte téméraire et impudique qui escalade la vitre est de la salle de bain, avec ses petites ventouses, osant nous montrer ses dessous, ou se pose sur l’épaule de mon mari, le prenant pour un végétal alors qu’il était en pleine contemplation.

Image006.png   Osé n’est-il pas ?

- parfois un escargot baveux sur la vitre de la cuisine.

Image008.png   Avec du beurre et du persil


- une aire de nidification de chauves-souris cachotières (80 à 100 pipistrelles) derrière le bardage de bois (répertoriée grâce à un ingénieux système, la débrouille des experts, des étudiantes allemandes).

Image010.png   Une pipistrelle

                                                                                      L'ingénieux système : 
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Et hop dans l’escarcelle !

Pesées, mesurées, prélèvement ADN, réchauffées et relâchées
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- une colonie de moineaux domestiques bruyants, sous la toiture.

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Une famille en train de s’abreuver et se baigner

Nous n’imaginions pas qu’en construisant nous partagerions ainsi notre logis.

Notre jardin de campagne, quant à lui, fourmille de vie sur une surface de 3800 m2, en Sologne sud. Différents milieux le composent pour le bonheur d’une multitude d’espèces, qui pour la plupart étaient là avant notre arrivée. Cela va de la plus rase, la prairie composée de différentes graminées, au plus majestueux, un chêne de 22m d’étalement sur un petit peu moins de hauteur.

Image021.jpg Le chêne séculaire  Image023.jpg          Image025.jpg

D'après nos calculs strictement et savamment approximatifs, il doit avoir entre 250 et 300 ans. Il a du en voir passer des animaux et des hommes. Un deuxième chêne plus petit lui tient compagnie, à l’opposé du jardin, faisant le relais avec la forêt.

D’autres part, notre refuge est traversé par un ruisseau qui rend une partie de la prairie humide et alimente joncs, roseaux, massettes, saules marsault et aulnes.

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Au bord du ruisseau, la nature garde pratiquement tous ses droits

Nous avons également deux grandes haies champêtres composées de pruneliers, aubépines, sureaux, noisetiers, églantiers, lierre, ronces.

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Pruneliers en fleurs et deuxième chêne

Ecrin autour de l’écrin, l’environnement proche est relativement préservé et bénéficie aussi de différents milieux.

Le hameau, essentiellement composé de vieilles fermes, se love au pied de la forêt domaniale de Vierzon, abritant en son sein de grands arbres. Il est ouvert au sud et au sud-ouest sur un bocage consacré à l’élevage bovin et équin.

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Le bocage solognot, avec en arrière plan la forêt

Quelques petits champs où alternent maïs et blé et une rivière proche viennent compléter le tout. Cela forme un ensemble très riche offrant gîte et couvert à une liste très longue d’animaux, allant du plus gros, le cerf, au plus petit...et là je ne vois pas.

 Depuis le début, nos interventions ont fait évoluer le biotope, le plus possible vers la bonne santé du petit peuple. A l’existant précédemment décrit, nous avons ajouté : la construction d’une petite retenue sur le ruisseau, l’aménagement de massifs, roseraie, vivaces, annuelles et arbustes civilisés assez proches de la maison, un potager avec des petits fruits et l’indispensable tas de compost ; même la piscine a eu son importance.

Image035.jpg                   Image033.jpg                        Ma petite mare, entre autre à canards et libellules 

Image037.jpg                             Gloubiboulga d'arbustes                                                      Potager, roseraie et vivaces             Image039.jpg             Image041.jpg

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Hirondelles écopant et se baignant dans la piscine, à notre grande surprise

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Les chardonnerets adorent les cosmos

Malheureusement, il faut parler d’un aménagement plus important, que nous ne souhaitions pas, qui a certainement modifié la faune et la flore et qui m’a engagée dans un rude combat : la construction d’un éclairage public.

Nos anciens, ceux qui ferment les volets alors qu’il fait encore jour, voulaient majoritairement y voir la nuit, jusque là rien d’illogique. Juste avant les élections, notre maire, qui sans doute aime ce qui brille (on va dire ça comme ça), a exaucé leur voeu de façon inattendue, un lampadaire routier toutes les deux maisons, pour un total de onze luminaires crachant leur feu tous azimuts, jusque là rien d’inadapté. 

J’ai alors essayé de soulever des montagnes pendant des mois butant à chaque fois sur l’omnipotence et le pouvoir décisionnaire du maire et sur un médiateur ne jugeant pas crédible de faire appliquer les lois environnementales européennes et différents accords et conventions signés par la France, ne serait-ce que pour l’aire de nidification des chauves-souris, jusque là rien d’administratif. J’ai tout de même réussi à faire changer quatre luminaires, pour un spectre moins large, moins invasif.

Quant à éteindre l’ensemble la nuit, n’en parlons même pas, nous consommons goulument et polluons joyeusement en toute inutilité, incohérence et inconséquence avec notre réprobation, mais le plaisir de monsieur le maire qui refuse de nous écouter et reste impérial. Le fonctionnement du cerveau humain reste encore pour les chercheurs, un mystère. J’ai été vaincue, j’ai abandonné, je ne suis pas chercheur.

Pas de photos de l’éclairage public, ce serait inconvenant.

C’est alors que nous avons créé le refuge officiel. Nous avons essayé de compenser les effets négatifs en ajoutant des aides sociales, maisons individuelles pour nos amis à plumes, HLM pour les moineaux, de petits hôtels à insectes, divers abreuvoirs et restos du coeur pour l’hiver, abris à grenouilles et à hérissons.

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Image061.jpg                                                                                                          Nous avons conscience de peut-être les engraisser pour les chasseurs

 Image063.jpg  Image065.jpg  Image067.jpg  Image069.jpg      

Image071.jpg                Image077.jpg                 Image079.jpg                                                                                                                                                HLM à moineaux                     Image073.jpg       Image075.jpg        Chambres d'hôtes                  

 Image081.jpg  Pour hérissons SDF, c'est quand ils veulent

Parlons un peu de nos pratiques dans ce jardin-refuge. Elles ont évolué réduisant ainsi le mystère de notre cerveau. La pelouse de jardin public a laissé place à des ilots de graminées en liberté.

Cela permet de faire des choses sympas sur un plan graphique                                                                    

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L’éradication des orties a laissé place à l’élevage des coccinelles qui les affectionnent. Le « houlà, il va falloir nettoyer cette haie » a laissé place à un fouillis presque organisé, avec mûres prunelles, orties, bois mort etc... tout ce qui fait moche pour Le Nôtre mais que les oiseaux adorent. Le  « marre, il va falloir désherber » a laissé place à la Reine du paillis maison en tout genre, c’est moi et c’est le broyeur qui en a marre. Cela a laissé place aussi aux semis spontanés de belles sauvages.                                    

                        Image089.jpg                                                                        Chatoyants coquelicots                             

 Bref ! que des avantages. Moins de temps perdu, d’énergie, de pollution, plus d’animaux...même les campagnols...gggrrr ! et surtout plus d’oiseaux ( sauf nocturnes, cherchez l’erreur ! Ils seraient bien efficaces pour mes ennemis, les boules de poils qui mangent nos bulbes).

 Et si l’on en parlait enfin de nos amis à poils et à plumes ! Difficile de les évoquer tous tellement ils sont nombreux. Parmi eux, 72 espèces d’oiseaux en comptant ceux qui sont là toute l’année, que l’été, que l’hiver ou de passage sur le hameau, des gros mammifères comme cerfs, chevreuils jusqu’aux petits, la musaraigne. Ils sont nombreux aussi, ceux qui n’ont ni plumes, ni poils, les insectes, papillons, libellules, reptiles et batraciens. Tout ce petit monde dans notre jardin et/ou espace proche, point de frontière, libres ! La diversité du milieu attire les oiseaux des jardins, des bocages, de la forêt, d’eau, des champs qui apprécient l’activité humaine ; mais aussi ceux qui apprécient les constructions humaines comme l’hirondelle, ceux qui viennent de loin comme Mon Rossignol, qui échappent aux chasseurs comme Ma Tourterelle des bois.

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Voici quelques uns de nos potes, difficile de leur tirer le portrait, sans compter ceux qui refusent, évoquant le droit à l’image


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Les uniques apparitions ont été : la bécassine, la linotte, le ragondin, le campagnol amphibie et un sanglier poursuivi par un chien.

 Devenant aussi de plus en plus observateurs, nous faisons sans cesse de nouvelles découvertes. Ce printemps et début d’été, nous avons pu voir, dans le jardin, le bruant des roseaux au bord du ruisseau, la pie grièche à tête rousse dans les plates-bandes, le pouillot de Bonelli et l’hypolaïs polyglotte dans le saule marsault, aïe aïe l’épervier près des mangeoires et les papillons « petite tortue » et « carte géographique ». Mais également, dans le pré d’à côté, une bande de grives litornes de passage, deux ou trois prés plus loin, sur un piquet de clôture, la pie grièche grise et dans un bosquet, le loriot.

 Que vous dire de plus, qu’au moment où j’écris, il fait beau, plein d’oisillons un peu gauches volètent dans tous les sens, souvent regroupés derrière papa et maman, la relève est assurée ; ça sent bon les foins, mais je ne peux malheureusement pas vous transmettre les bonnes odeurs.

Quand j’évoquais le crapouillot qui trempe son postérieur dans le bassin, et bien l’autre soir je l’ai pris en flag, en voici la preuve.

Image139.jpg      Image141.jpg                  De dos sur une patte, pour reposer l’autre, ou de profil...au choix, mais en villégiature

En flag aussi, mais au téléobjectif, telle une v.i.p., Ma Tourterelle des bois, au roucoulement si doux.

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D'autre part, si vous aimez les histoires, vous pouvez retrouver une héroïne du jardin dans une nouvelle que j’ai écrite et publiée sur mon blog « zarathoustrette.blogspot.com », elle s’intitule « Complices ». Je l’ai photographiée, elle est affichée dans ce message, vous la reconnaitrez. Et si comme moi vous cherchez des réponses au dérèglement climatique, alors la nouvelle qui s’intitule « Printemps pluvieux » est pour vous également.

 

Je vous remercie pour l’intérêt que vous avez porté à cette lecture, pour l’action que vous engagez également, ainsi que la LPO qui nous fédère et nous représente honorablement.