Utilisateur:ANNE MARIE GELMETTI

Mon verger hautes-tiges

Situé en Moselle, à deux pas de la piste de ski in-door dAmnéville (visible sur la photo ci-dessous) et de l'usine de Gandrange tristement célèbre, mon refuge comprend 45 ares de prairies et verger hautes-tiges. Il y a une trentaine d'années, ce terrain était planté principalement de mirabelliers. Depuis une dizaine d'années, je le réaménage en essayant de diversifier les essences d'arbres fruitiers. Une haie (entourée de ruban sur la photo afin d'éviter la fauche lors de la fenaison) complète les plantations et devrait bientôt fournir des petits fruits intéressants (baies de sureau noir, noisettes, cornouilles).

ACTUALITES DE MON REFUGE

Chouette Chevêche attendue ! Depuis le début de cette année, un nichoir spécialement étudié pour dame chevêche a été installé sur le plus gros des cerisiers grâce au coup de main de groupe local de Rombas. Un couple niche déjà à proximité, de l'autre côté de la colline. Alors, sait-on jamais...

DESCRIPTION DE MON REFUGE

-superficie : 45 ares environ ;
-milieu : péri-urbain :
-principaux milieux du Refuge :

• Arbres, fourrés, haies. Cerisiers (bigarreaux Napoléon, Burlat, Reverchon, Hedelfingen+ 2 arbres plantés par les anciens, dont un bigarreaux blanc savoureux). Pommiers (Melrose, Top Red Delicious, Summer Red, Reinette grise du Canada, Reine des reinettes, Gravenstein, Cox Orange). Mirabelliers (de Nancy), Néflier à gros fruits, Noyers (dont 2 greffés), Cognassier, Questchier, Prunier Ste Catherine. Il y a aussi un sapin réchappé de Noël 2007 pour faire joli en hiver.
  
• Prairie naturelle où l'on trouve entre autres des campanules étalées. Le fauchage a lieu une fois par an en juin.

-Les milieux autour du refuge dans un rayon de 100 mètres

• Arbres, fourrés, haies
• Pelouse naturelle et prairies

MES AMENAGEMENTS NATURELS

Au beau milieu du verger, comme cela se faisait couramment autrefois, mais guère plus depuis des dizaines d'années, j'ai installé un cormier (Sorbus domesticus). Les oiseaux sont paraît-il très friants de ses baies. Et surtout, c'est un arbre qui peut vivre très vieux (aussi vieux qu'un chêne !). La première floraison sur ce petit cormier âgé d'une dizaine d'années a d'ailleurs eu lieu cette année.