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DESCRIPTION DE MON REFUGE[modifier]
En cliquant sur « modifier » (à droite), vous pouvez indiquer les caractéristiques de votre Refuge :
Exemple :
-Sa superficie ;
-Le milieu dans lequel se trouve votre Refuge (urbain, péri-urbain, rural) :
-Quels sont les principaux milieux du Refuge :
- Arbres, fourrés, haies
- Pelouse naturelle ou prairies
- Cultures (ex : céréales, tournesol, colza, etc.)
- Mare ou points d'eau
- Bâtiments
- Murs comportant des cavités
- Tas de compost
-Les milieux autour du refuge dans un rayon de 100 mètres
- Arbres, fourrés, haies
- Pelouse naturelle et prairies
- Cultures (ex : céréales, tournesol, colza, etc.)
- Mare ou point d'eau
- Bâtiments
- Murs comportant des cavités
N'hésitez pas à détailler les descriptions : par exemple pour les arbres, vous pouvez préciser les essences (chêne, noisetier, érable…) et l'endroit où ils poussent.
Vous pouvez illustrer cette rubrique de photos numériques sans toutefois dépasser le format image web 300 x 400 pixels, et aussi d'un plan schématique du terrain (dessin scanné par exemple au format jpeg).
Mon Refuge LPO[modifier]
Un havre de paix, dans une clairière de la forêt des Thivolets , situé sur la commune de Saint-Michel-sur-Savasse (Drôme). Notre Refuge LPO s’étend sur un surface de près de 2 hectares d’un seul tenant.
Une prairie d'environ 3000 m² et le reste mis à la disposition de 5 anesses en pâture. Puis un tenement immobilier d'environ 300 m² regroupant une partie habitation, un hangar et des anciennes petites écuries. Ces espaces, les plus anthropisés restent cependant intéressants grâce à la vielle grange située sur les écuries qui accueillent des mammifères comme la souris et la fouine.
Dans la partie basse du terrain on trouve de nombreux aubépiniers lesquels fournissent le gîte et le couvert à une multitude de passereaux.(mésanges, rougequeues, merles, grives, etc..)
Le refuge compte également 5 énormes peupliers qui semblent apporter toute la sécurité sur la maison et ses terres. Un envahissement trop important par les ronces, les haies et fossés sont «régénérés» un petit peu chaque année et en hiver bien sûr.
Ce mode traditionnel d’entretien permet une production du bois et surtout offre de bonnes conditions d’accueil par exemple aux insectes et aux rapaces nocturnes. Près de la mare et des zones à grandes herbes, on peut entendre les grenouilles.
Les forêts avoisinantes sont très proches de notre parcelle. Après l’abattage du bois, elles sont laissées en évolution libre. La seule intervention se limite à éradiquer les repousses de châtaigniers. Le développement et l’évolution spontanée de la végétation donne un habitat naturel de type boisement humide et mégaphorbiaie composé de frênes, châtaigniers, boulots … Ce type d’habitat naturel, où l’on observe régulièrement chevreuils, et de plus en plus de pic épeiche est devenu extrêmement rare dans des écosystèmes ruraux soumis à la rentabilité agricole et à une certaine vision de la nature "Propre".