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+ | De nombreuses plantes et arbustes mellifères poussent sur le refuge (buddleias, lavandes, glycine, chèvrefeuilles, nepetas, ...) qui attirent énormément d'insectes volants. Un hotel à hyménoptères a été installé l'été 2012 dans l'abri à bois ; il est partiellement occupé. De nombreuses larves de cétoines se développent dans le compost. | ||
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+ | Autres oiseaux présents sur le refuge : moineau, huppe faciès (attirées par le crottin des chevaux), troglodyte mignon (a jadis fait son nid dans la jardinerie), hirondelle des cheminées (nids contre les poutres de la remise à oeufs du voisin et dans sa descente de cave), fauvette des jardins, pic-vert (fixé sur le verger), perdrix grise (une volée), bergeronnette grise, étourneau sansonnet (en bandes nombreuses), tourterelles, grive draine, caille (entendues), hulotte. | ||
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+ | Un point d'eau est alimenté tout l'été ; un point d'eau permanent existe dans la basse-cour voisine. | ||
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+ | En projet : l'installation d'une ruche (après des cours d'apiculture au rucher école de Veigné). |
Version du 7 février 2013 à 16:39
Sommaire
INTITULE DE MA PAGE PERSO
Le refuge d'oiseaux du Carroi Guérin se situe en pleine campagne, au centre de la réserve de chasse communale de Lémeré, commune située entre Chinon et Richelieu, au Sud du département d'Indre et loire, incluse dans le parc naturel régional Loire Anjou Touraine.
DESCRIPTION DU REFUGE
D'une superficie d'environ 0,3 ha, le refuge comporte un verger planté de variétés anciennes de pommiers, pruniers, cerisiers, poiriers, un grand merisier, un noyer, trois figuiers, des framboisiers et groseillers. Le sol du verger reçoit chaque hiver un épandage du compost de l'année n-1.
Plusieurs prairies jouxtent la maison qui sont partiellement bordées de vieux murs en tuffeau et qui comportent des espaces non fauchés du printemps à l'automne. On y trouve quatre grands arbres : un chêne sessile, deux marronniers, un tilleul.
Le refuge est bordé à l'Est par une vigne d'environ 0,2 ha, au Sud par un champ agricole de plusieurs ha (hélas non cultivé en bio), à l'Ouest par le jardin-verger d'une propriété, par des dépendances agricoles et la maison d'habitation avec une basse-cour, au Nord par notre maison.
De nombreuses plantes et arbustes mellifères poussent sur le refuge (buddleias, lavandes, glycine, chèvrefeuilles, nepetas, ...) qui attirent énormément d'insectes volants. Un hotel à hyménoptères a été installé l'été 2012 dans l'abri à bois ; il est partiellement occupé. De nombreuses larves de cétoines se développent dans le compost.
Plusieurs descentes de caves sous roche existent sur le refuge et sa périphérie immédiate.
A proximité on trouve vergers, prairies naturelles, jachères, pâturages avec chevaux, potagers.
Petite faune présente sur le refuge : chauves-souris pipistrelles (hibernent dans les caves), lièvres, lapins, couleuvres, de nombreux lézards, mulots, un hérisson (vu en 2010).
ACTUALITE DU REFUGE
Nichées observées en 2012 : rouge queue noir (3 successives sur le même nid dans la remise au pressoir), pinson des arbres (2), mésanges charbonnières et mésanges bleues (3), pigeon ramier (1), chardonneret élégant (1), merle (1), pie (1).
Sauvetages réussis d'oisillons durant l'été 2012 : 1 rouge queue noir (patte emmêlée au nid ; désincarcéré, relâché et réalimenté par les parents) ; 1 chardonneret élégant (tombé avec le nid sous le tilleul ; nid réinstallé et reprise du nourrissage par les parents).
Taux de réussite (%) des 7 nichoirs à balcon : 1 (100%) ; 1 (1 oeuf non éclos) ; 1 (0%) ; 1 (squatté par des frelons autochtones) ; autres nichoirs non occupés.
Autres oiseaux présents sur le refuge : moineau, huppe faciès (attirées par le crottin des chevaux), troglodyte mignon (a jadis fait son nid dans la jardinerie), hirondelle des cheminées (nids contre les poutres de la remise à oeufs du voisin et dans sa descente de cave), fauvette des jardins, pic-vert (fixé sur le verger), perdrix grise (une volée), bergeronnette grise, étourneau sansonnet (en bandes nombreuses), tourterelles, grive draine, caille (entendues), hulotte.
AMENAGEMENTS NATURELS DU REFUGE
Sept nichoirs à balcon (dont celui reçu de la LPO) sont disséminés sur le refuge, dans les arbres et sous le rebord des toits.
Un point d'eau est alimenté tout l'été ; un point d'eau permanent existe dans la basse-cour voisine.
Une campagne de nourrissage par graines de tournesol est organisée durant la période froide.
En projet : l'installation d'une ruche (après des cours d'apiculture au rucher école de Veigné).