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− | Ici, le printemps est un peu plus tardif qu'en plaine d'Alsace, mais quelques messagers sont déjà de retour depuis quelques temps : le rouge-queue noir et la bergeronnette grise. En revanche, pas de trace des hirondelles pour l'instant, mais de nombreux insectes sont de sortie, et certains nous sont franchement inconnus ! Nous nous disons régulièrement : "Mais qu'est-ce que c'est que cette bête ?". Il y a beaucoup d'abeilles ( et pas mal d'apiculteurs !) dans la région : abeilles domestiques et osmies notamment. Nous avons aussi le plaisir d'admirer le vol du citron qui est l'un des premiers papillons. | + | Ici, le printemps est un peu plus tardif qu'en plaine d'Alsace, mais quelques messagers sont déjà de retour depuis quelques temps : le rouge-queue noir et la bergeronnette grise. En revanche, pas de trace des hirondelles pour l'instant, mais de nombreux insectes sont de sortie, et certains nous sont franchement inconnus ! Nous nous disons régulièrement : "Mais qu'est-ce que c'est que cette bête ?". Il y a beaucoup d'abeilles ( et pas mal d'apiculteurs !) dans la région : abeilles domestiques et osmies notamment. Nous avons aussi le plaisir d'admirer le vol du citron qui est l'un des premiers papillons. |
− | Je m'interroge, car je n'ai pas vu cet hiver de trace de mésange huppée ni d'accenteur mouchet, alors que j'avais eu le bonheur de les observer l'année dernière. Est-ce lié à l'hiver plus rigoureux où y a-t'il une autre cause ? | + | Je m'interroge, car je n'ai pas vu cet hiver de trace de mésange huppée ni d'accenteur mouchet, alors que j'avais eu le bonheur de les observer l'année dernière. Est-ce lié à l'hiver plus rigoureux où y a-t'il une autre cause ? |
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+ | Il y a quand même quelques avantages à "hériter" d'un terrain qui n'est pas vierge. Ainsi, nous avons un petit verger comprenant 2 pommiers, un noyer, un prunier qui donne des quetsches et un inconnu, probablement de la famille "prunus" au vu de ses feuilles et de sa période de floraison, mais qui n'a pas daigné nous donner le moindre fruit. Je dois dire à sa décharge qu'il était mal placé par rapport à feu la haie de sapins, qui l'étouffait à demi, et que les deux dernières années n'ont franchement pas été bonnes pour les fruits (à part les pommes), et que nous n'avons mangé que quelques quetsches, alors que l'automne ou nous avions visité la maison, l'arbre ployait sous le poids des fruits dont une bonne quantité était pourtant déjà par terre sans que personne ne sans préoccupe... (Je sais, c'estpas juste, mais il faut faire avec...). | ||
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Version du 16 avril 2009 à 15:24
UN REFUGE DANS LA HAUTE VALLEE DE LA BRUCHE
Notre refuge se situe à Saulxures (67), dans la Haute Vallée de la Bruche. Nous nous trouvons à environ 500m d'altitude.
Si vous séjournez au gite situé en face de chez nous, n'hésitez pas à venir nous dire bonjour !
ACTUALITES DE NOTRE REFUGE
Nous sommes dans les grands travaux : nous avons abattu la haie de sapins qui entourait la propriété pour la remplacer par une haie variée plus propice à l'accueil de la faune en tout genre.
Ici, le printemps est un peu plus tardif qu'en plaine d'Alsace, mais quelques messagers sont déjà de retour depuis quelques temps : le rouge-queue noir et la bergeronnette grise. En revanche, pas de trace des hirondelles pour l'instant, mais de nombreux insectes sont de sortie, et certains nous sont franchement inconnus ! Nous nous disons régulièrement : "Mais qu'est-ce que c'est que cette bête ?". Il y a beaucoup d'abeilles ( et pas mal d'apiculteurs !) dans la région : abeilles domestiques et osmies notamment. Nous avons aussi le plaisir d'admirer le vol du citron qui est l'un des premiers papillons.
Je m'interroge, car je n'ai pas vu cet hiver de trace de mésange huppée ni d'accenteur mouchet, alors que j'avais eu le bonheur de les observer l'année dernière. Est-ce lié à l'hiver plus rigoureux où y a-t'il une autre cause ?
DESCRIPTION DE NOTRE REFUGE
Il s'agit de notre jardin, un terrain de 15 ares auxquels vont se rajouter prochainement 5 nouveaux ares. Nous ne sommes propriétaires des lieux que depuis 2 ans et nous n'y habitons que depuis 18 mois, aussi notre terrain est-il loin de correspondre en tout point à ce que nous voudrions ! Le jardin est resté très longtemps à l'abandon, et de nombreux travaux sont à envisager. Toute la difficulté consiste à laisser une place à la nature sauvage dans les aménagements que nous souhaitons faire, sans pour autant être envahi par certaines espèces !
Nous nous battons en particulier contre la benoîte, dont les akènes crochus sont redoutables dans les poils du chien et les vêtements des enfants, et avec une renonculacée dont j'ai oublié le nom, quoiqu'il me semble qu'elle s'appelle tout bêtement "renoncule rampante". Si tel est bien le cas, elle porte son nom à ravire, et pour ramper, elle rampe, étouffant tout ou presque sur son passage.
Il y a quand même quelques avantages à "hériter" d'un terrain qui n'est pas vierge. Ainsi, nous avons un petit verger comprenant 2 pommiers, un noyer, un prunier qui donne des quetsches et un inconnu, probablement de la famille "prunus" au vu de ses feuilles et de sa période de floraison, mais qui n'a pas daigné nous donner le moindre fruit. Je dois dire à sa décharge qu'il était mal placé par rapport à feu la haie de sapins, qui l'étouffait à demi, et que les deux dernières années n'ont franchement pas été bonnes pour les fruits (à part les pommes), et que nous n'avons mangé que quelques quetsches, alors que l'automne ou nous avions visité la maison, l'arbre ployait sous le poids des fruits dont une bonne quantité était pourtant déjà par terre sans que personne ne sans préoccupe... (Je sais, c'estpas juste, mais il faut faire avec...).
Allez, la suite une prochaine fois, le petit est réveillé...