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Plante vivace, moyenne à grande, pilosité rude. Tige dressée, simple. Feuilles lancéolées, sans nervures latérales saillantes, les supérieures sessiles. Fleurs de 15-20 mm, roses, puis bleu vif, en cymes disposées en épi&nbsp;; toutes les étamines saillantes. Floraison&nbsp;: mai-septembre,octobre.  
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*'''Plante vivace''', moyenne à grande, pilosité rude. Tige dressée, simple. Feuilles lancéolées, sans nervures latérales saillantes, les supérieures sessiles. Fleurs de 15-20 mm, roses, puis bleu vif, en cymes disposées en épi&nbsp;; toutes les étamines saillantes. Floraison&nbsp;: mai-septembre,octobre.  
  
 
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Vipérine commune ''Echium vulgare'' - photo © Nicolas Macaire LPO  
  
 
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L'attirance des abeilles, bourdons et papillons pour cette plante est exceptionnelle. Elle leur fournit un abondant nectar pendant plusieurs semaines consécutives. 1 ha de vipérine fournit 300 à 400 kg d'un excellent miel. Son introduction dans les jardins est pleinement justifiée par son esthétisme.  
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*L'attirance des abeilles, bourdons et papillons pour cette plante est exceptionnelle. Elle leur fournit un abondant nectar pendant plusieurs semaines consécutives. 1 ha de vipérine fournit 300 à 400 kg d'un excellent miel. Son introduction dans les jardins est pleinement justifiée par son esthétisme.  
  
 
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Semez 4 à 5 graines dans un pot de fleur rempli de terre de jardin à l'automne ou au printemps (en mai, par exemple). Dès que chaque plant est au stade 4 feuilles, n'en laissez qu'un par pot, dépotez et installez la motte en place. La plante doit être mise en place quand elle est encore très jeune, car la vipérine supporte très mal la transplantation. Il faut l'installer dans un endroit ensoleillé. Elle aime les sols légers, caillouteux et secs. Compte-tenu de son grand développement, espacez les plants d'au moins 45 cm.  
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*Semez 4 à 5 graines dans un pot de fleur rempli de terre de jardin à l'automne ou au printemps (en mai, par exemple). Dès que chaque plant est au stade 4 feuilles, n'en laissez qu'un par pot, dépotez et installez la motte en place. La plante doit être mise en place quand elle est encore très jeune, car la vipérine supporte très mal la transplantation. Il faut l'installer dans un endroit ensoleillé. Elle aime les sols légers, caillouteux et secs. Compte-tenu de son grand développement, espacez les plants d'au moins 45 cm.  
  
 
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Plante rudérale, terrains vagues, bords de voies ferrées, routes, endroits secs.  
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*Plante rudérale, terrains vagues, bords de voies ferrées, routes, endroits secs.  
  
 
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Plante non protégée.  
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*Pas de statut de protection connu.  
  
 
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Version actuelle datée du 24 novembre 2015 à 11:36


Image:Echium_vulgare_2.jpg

Vipérine commune Echium vulgare

Etymologie[modifier]
  • Nom latin : Echium vulgare
  • Noms anglais : Blue Bedder, Viper's Bugloss, Blueweed.
  • Famille : Boraginacées
  • Son nom est dû à ses étamines qui dépassent la corolle et rappellent la langue bifide des serpents.
Description[modifier]
  • Plante vivace, moyenne à grande, pilosité rude. Tige dressée, simple. Feuilles lancéolées, sans nervures latérales saillantes, les supérieures sessiles. Fleurs de 15-20 mm, roses, puis bleu vif, en cymes disposées en épi ; toutes les étamines saillantes. Floraison : mai-septembre,octobre.

Plante mellifère, attirant fortement les abeilles, bourdons et papillons.

Fruit de type akène, graines disséminées par gravité (barochorie).

Image:Vipérine_Echium_vulgare_2_Nicolas_MacaireBR.jpg

Vipérine commune Echium vulgare - photo © Nicolas Macaire LPO

Intérêt écologique[modifier]
  • L'attirance des abeilles, bourdons et papillons pour cette plante est exceptionnelle. Elle leur fournit un abondant nectar pendant plusieurs semaines consécutives. 1 ha de vipérine fournit 300 à 400 kg d'un excellent miel. Son introduction dans les jardins est pleinement justifiée par son esthétisme.
Culture[modifier]
  • Semez 4 à 5 graines dans un pot de fleur rempli de terre de jardin à l'automne ou au printemps (en mai, par exemple). Dès que chaque plant est au stade 4 feuilles, n'en laissez qu'un par pot, dépotez et installez la motte en place. La plante doit être mise en place quand elle est encore très jeune, car la vipérine supporte très mal la transplantation. Il faut l'installer dans un endroit ensoleillé. Elle aime les sols légers, caillouteux et secs. Compte-tenu de son grand développement, espacez les plants d'au moins 45 cm.
Distribution[modifier]
  • Partout en France.
Habitat[modifier]
  • Plante rudérale, terrains vagues, bords de voies ferrées, routes, endroits secs.
Statut[modifier]
  • Pas de statut de protection connu.
Bibliographie[modifier]
  • Bayer E., Buttler K.P., Finkenzeller X. & Grau J. (1990) –Guide de la flore méditerranéenne. Edition Delachaux & Niestlé, Lausanne-Paris, 287 p.
  • Blamey M. & Grey-Wilson C. (2000) –Toutes les fleurs de Méditerranée. Edition Delachaux & Niestlé, Lausanne, 560 p.
  • Bonnier G. (1995) –Les noms des fleurs trouvés par la méthode simple. Edition Belin, 340 p.
  • Bonnier G. & De Layens G. (1995) –Flore complète portative de la France, de la Suisse et de la Belgique. Edition Belin, 425 p.
  • Fitter A. (1988) –Les fleurs sauvages. Edition Delachaux & Niestlé, Neuchâtel-Paris, 320 p.
  • Fitter A., Fitter R. & Blamey M. (2005) –Guide des fleurs sauvages. Edition Delachaux & Niestlé, Lausanne-Paris, 335 p.
  • Fitter R., Fitter A. & Farber A. (1991) –Guide des graminées, carex, joncs, fougères. Edition Delachaux & Niestlé, Neuchâtel-Paris, 255 p.
  • Grey-Wilson C. & Blamey M. (1990) –Guide complet des fleurs de montagne. Edition Delachaux & Niestlé, Neuchâtel-Paris, 384 p.
  • Masclef A. (1987) –Atlas des plantes de France (2 livres). Edition Belin, 367 p.
  • Rameau J.C., Mansion D. & Dumé G. (1989) –Flore forestière française, 1 plaines et collines. Edition Institut pour le Développement Forestier, Paris, 1785 p.
  • Rameau J.C., Mansion D. & Dumé G. (1993) –Flore forestière française, 2 montagnes. Edition Institut pour le Développement Forestier, Paris, 2420 p.
  • Rameau J.C., Mansion D., Dumé G. & Gauberville C. (2008) –Flore forestière française, 3 région méditerranéenne. Edition Institut pour le Développement Forestier, Paris, 2426 p.