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| − | Le refuge proprement dit est d'une superficie modeste d'environ 100 m2 mais s'intègre dans un milieu plus vaste (la copropriété et les jardins présents tout autour sur la commune). Il comprend deux arbres : un pommier et un poirier. Pour la végétation plus basse, on trouve du chèvrefeuille, des framboisiers, des | + | Le refuge proprement dit est d'une superficie modeste d'environ 100 m2 mais s'intègre dans un milieu plus vaste (la copropriété et les jardins présents tout autour sur la commune). Il comprend deux arbres : un pommier et un poirier. Pour la végétation plus basse, on trouve du chèvrefeuille, des framboisiers, des myrtilliers, un laurier sauce, un laurier du Portugal, un photinia, une haie de lauriers du Caucase, des hortensias, des pivoines, des lilas, des asters d'automne, un camélia et diverses plantes d'ornement. |
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Version actuelle datée du 3 décembre 2012 à 09:44
Refuge à Saint Egrève dans l'Isère
Vue générale du Refuge[modifier]
DESCRIPTION DE MON REFUGE[modifier]
Le refuge se trouve en milieu urbain à Saint-Egrève, en banlieue de Grenoble, il fait partie d'un lot de copropriété, son environnement immédiat est donc constitué de jardins d'agrément au milieu desquels se trouve une maison.
La copropriété est bordée par la voie ferrée Grenoble-Lyon, électrifiée en 25 000 volts et au trafic important, qui peut occasionner une gêne pour la faune. Toutefois, je peux observer, en vol, des colverts, des buses et depuis peu des hérons cendrés, probablement attirés par le lac de retenue créé sur l'Isère il y a une vingtaine d'années.
Au-delà de la voie ferrée on trouve une zone commerciale faite de grands parkings et au trafic routier dense, y compris des poids lourds.
L'environnement du refuge peut paraître des plus précaire, néanmoins la faune sauvage arrive à le coloniser et à en tirer partie. Outre les colverts, hérons et rapaces (milans noirs) il arrive de croiser des hérissons et des crapauds/grenouilles (présents dans un petit cours d'eau, la Biole, qui coule au milieu des voies ferrées et de la zone commerciale).
Le refuge proprement dit est d'une superficie modeste d'environ 100 m2 mais s'intègre dans un milieu plus vaste (la copropriété et les jardins présents tout autour sur la commune). Il comprend deux arbres : un pommier et un poirier. Pour la végétation plus basse, on trouve du chèvrefeuille, des framboisiers, des myrtilliers, un laurier sauce, un laurier du Portugal, un photinia, une haie de lauriers du Caucase, des hortensias, des pivoines, des lilas, des asters d'automne, un camélia et diverses plantes d'ornement.
MES AMENAGEMENTS NATURELS[modifier]
Le refuge comprend 11 nichoirs :
Dans le pommier :
1 nichoir pour rougequeue à front blanc
1 nichoir semi ouvert pour rouge gorge ou rougequeue noir
1 nichoir en osier semi ouvert
2 nichoirs pour petites mésanges
1 nichoir pour mésanges charbonnières
Dans le poirier :
1 nichoir pour grimpereau des jardins
1 nichoir pour rougequeue à front blanc
1 nichoir pour petites mésanges
1 nichoir pour mésanges charbonnières
Le long d'une palissade :
1 nichoir semi ouvert
Le refuge compte quatre mangeoires : une mangeoire plateau, deux mangeoires plateau couvertes et une mangeoire potence.
Pour les espèces autres que les oiseaux, il y a aussi un gîte à hérisson, un abri à papillons et deux abris à coccinelles.
Les plantations utiles pour l'alimentation des habitants du jardin sont :
un pommier et un poirier
plusieurs pieds de framboisiers
un cassissier
trois pieds de chèvrefeuille
un fuchsia dont les graines attirent les merles
