Utilisateur:CLAUDE BELLIN : Différence entre versions
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====== SITUATION GEOGRAPHIQUE ====== | ====== SITUATION GEOGRAPHIQUE ====== | ||
− | Mon refuge se situe dans la commune d'Hautot le Vatois, au hameau du Ver à Val, dans le département de Seine-Maritime. | + | Mon refuge se situe dans la commune d'Hautot le Vatois, au hameau du Ver à Val, dans le département de Seine-Maritime. |
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− | + | Alors que je n'avais, jusqu'à présent, observé qu'épisodiquement des verdiers d'Europe, un groupe de cinq ou six individus fréquente très régulièrement les mangeoires depuis maintenant environ un mois. Ils ne vont pas directement dans les mangeoires mais récupèrent au sol ce que les mésanges, sittelles, moineaux ou autres merles ont fait tombé. [[Image:Verdier-d'Europe.jpg]] Hier, 9 février 2014, j'ai pu observer tout l'après-midi un groupe d'une vingtaine de pinsons du nord. C'est seulement la deuxième annnée que j'observe cet oiseau. L'année dernière c'était vers la mi-mars. Je n'en ai vu qu'un seul qui est resté environ deux jours pour s'approvisionner dans une mangeoire. J'avais pensé qu'il faisait une étape sur la route de sa migration vers le nord. Cette année, et à cette époque, je penche plus sur les effets d'un hiver doux qui les a incités à ne pas descendre plus au sud. [[Image:Pinson-du-nord.jpg]] | |
− | ====== ACTUALITES DE MON REFUGE ====== Alors que je n'avais, jusqu'à présent, observé qu'épisodiquement des verdiers d'Europe, un groupe de cinq ou six individus | ||
====== DESCRIPTION DE MON REFUGE ====== | ====== DESCRIPTION DE MON REFUGE ====== | ||
− | En 1980 nous avons acheté un corps de ferme implanté sur un terrain de 7 250 m² en plein cœur du Pays de Caux, à Hautot le Vatois, dans le hameau du Ver à Val. Notre terrain est bordé au nord et à l'ouest de talus planté de hêtres, de chênes, dont quelques uns sont certainement centenaires, et que j'ai complété par des châtaigniers. | + | En 1980 nous avons acheté un corps de ferme implanté sur un terrain de 7 250 m² en plein cœur du Pays de Caux, à Hautot le Vatois, dans le hameau du Ver à Val. Notre terrain est bordé au nord et à l'ouest de talus planté de hêtres, de chênes, dont quelques uns sont certainement centenaires, et que j'ai complété par des châtaigniers. |
[[Image:Talus et maison façade nord.jpg|Image:Talus_et_maison_façade_nord.jpg]]<br> | [[Image:Talus et maison façade nord.jpg|Image:Talus_et_maison_façade_nord.jpg]]<br> | ||
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− | Dès le printemps 1981, un petit coup de propre a été fait dans le poulailler et nous avons acheté nos premières volailles. Quel plaisir de manger des "vrais" poulets et de "vrais" œufs issus de poules qui ont mangé ce que mange normalement une poule : céréale, verdure et insectes prélevés dans la nature. Depuis nous ne mangeons que cela et en faisons profiter au passage la famille. | + | Dès le printemps 1981, un petit coup de propre a été fait dans le poulailler et nous avons acheté nos premières volailles. Quel plaisir de manger des "vrais" poulets et de "vrais" œufs issus de poules qui ont mangé ce que mange normalement une poule : céréale, verdure et insectes prélevés dans la nature. Depuis nous ne mangeons que cela et en faisons profiter au passage la famille. |
L'hiver suivant nous avons commencé les premières plantations en vue de la création d'un petit bois sur une surface d'environ 1 200 m², d'une bordure de petits fruits rouge et pour renouveler le verger qui était en partie vieillissant, mais en prenant garde de préserver les pommiers de variété locale (bénédictin et reinette de Bailleul notamment). <br> | L'hiver suivant nous avons commencé les premières plantations en vue de la création d'un petit bois sur une surface d'environ 1 200 m², d'une bordure de petits fruits rouge et pour renouveler le verger qui était en partie vieillissant, mais en prenant garde de préserver les pommiers de variété locale (bénédictin et reinette de Bailleul notamment). <br> | ||
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− | Bien entendu, dès le début nous avons aménagé et entretenu notre petit domaine en bannissant pesticides et engrais chimiques. Si les premières années nous avons dû recourir à quelques traitements biologiques contre pucerons et chenilles ou la bouillie bordelaise contre le mildiou, le pulvérisateur reste désormais quasiment tout le temps sur son étagère à prendre la poussière. Il y a suffisamment de fleurs, graminées, haies et refuges divers et variés (tas de bois, compost, bâtiments) pour attirer oiseaux, insectes prédateurs et autres hérissons. | + | Bien entendu, dès le début nous avons aménagé et entretenu notre petit domaine en bannissant pesticides et engrais chimiques. Si les premières années nous avons dû recourir à quelques traitements biologiques contre pucerons et chenilles ou la bouillie bordelaise contre le mildiou, le pulvérisateur reste désormais quasiment tout le temps sur son étagère à prendre la poussière. Il y a suffisamment de fleurs, graminées, haies et refuges divers et variés (tas de bois, compost, bâtiments) pour attirer oiseaux, insectes prédateurs et autres hérissons. |
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− | En mars 2009 nous avons réalisé un nouveau rêve : le creusement d'une mare d'une vingtaine de mètres carrés. C'est impressionnant la vitesse à laquelle elle a été colonisée : trois jours après sa mise en eau nous avons observé un premier notonecte, au mois de mai une grenouille verte et les premières libellules déprimées. Depuis chaque printemps nous sommes en admiration devant les larves qui sortent de la mare pour s'installer qui sur une plante, qui sur un mur pour opérer leur transformation. Le printemps suivant c'était le tour des tritons alpestres et des tritons communs, des æschnes et des agrions bleu métallique, des dytiques et des gerris, plus tous les insectes d'eau que je suis bien incapable d'identifier. <br> | + | En mars 2009 nous avons réalisé un nouveau rêve : le creusement d'une mare d'une vingtaine de mètres carrés. C'est impressionnant la vitesse à laquelle elle a été colonisée : trois jours après sa mise en eau nous avons observé un premier notonecte, au mois de mai une grenouille verte et les premières libellules déprimées. Depuis chaque printemps nous sommes en admiration devant les larves qui sortent de la mare pour s'installer qui sur une plante, qui sur un mur pour opérer leur transformation. Le printemps suivant c'était le tour des tritons alpestres et des tritons communs, des æschnes et des agrions bleu métallique, des dytiques et des gerris, plus tous les insectes d'eau que je suis bien incapable d'identifier. <br> |
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− | J’ai pu observer cet hiver l’évolution du comportement d’un pinson des arbres. Tout d’abord, comme ses congénères, il se contentait de récupérer ce qui tombait au sol après le passage des mésanges sur les boules de graisse. Puis, je l’ai observé voleter tout en picorant dans celles-ci. Et enfin, quelques jours plus tard, il s’y est suspendu à la façon des mésanges. Est-ce par imitation ou apprentissage | + | J’ai pu observer cet hiver l’évolution du comportement d’un pinson des arbres. Tout d’abord, comme ses congénères, il se contentait de récupérer ce qui tombait au sol après le passage des mésanges sur les boules de graisse. Puis, je l’ai observé voleter tout en picorant dans celles-ci. Et enfin, quelques jours plus tard, il s’y est suspendu à la façon des mésanges. Est-ce par imitation ou apprentissage ? Je ne saurais dire mais c’était tout à fait passionnant à observer. |
Au printemps 2011, nous avons installé pour la première fois un nichoir (celui offert par la LPO lors de notre inscription) et nous avons eu le plaisir de le voir occuper deux fois. La première fois au début du printemps par un couple de mésanges charbonnières, puis une deuxième par un couple de mésanges bleues. | Au printemps 2011, nous avons installé pour la première fois un nichoir (celui offert par la LPO lors de notre inscription) et nous avons eu le plaisir de le voir occuper deux fois. La première fois au début du printemps par un couple de mésanges charbonnières, puis une deuxième par un couple de mésanges bleues. | ||
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[[Image:Mésange bleue et nichoir.jpg|Image:Mésange_bleue_et_nichoir.jpg]]<br> | [[Image:Mésange bleue et nichoir.jpg|Image:Mésange_bleue_et_nichoir.jpg]]<br> | ||
− | Désormais à la retraite, j'ai confectionné plusieurs nichoirs : un deuxième pour mésanges, un semi ouvert pour les sittelles ou les rougegorges et un pour les chouettes hulottes. Ils sont en place et j'espère qu'ils auront le même succès que le premier, ainsi qu’un deuxième plateau de nourrissage que j’ai installé de l’autre côté de la maison ; ce qui multiplier mes points d’observation. | + | Désormais à la retraite, j'ai confectionné plusieurs nichoirs : un deuxième pour mésanges, un semi ouvert pour les sittelles ou les rougegorges et un pour les chouettes hulottes. Ils sont en place et j'espère qu'ils auront le même succès que le premier, ainsi qu’un deuxième plateau de nourrissage que j’ai installé de l’autre côté de la maison ; ce qui multiplier mes points d’observation. |
====== MES AMENAGEMENTS NATURELS ====== | ====== MES AMENAGEMENTS NATURELS ====== |
Version du 24 février 2014 à 10:53
Sommaire
SITUATION GEOGRAPHIQUE
Mon refuge se situe dans la commune d'Hautot le Vatois, au hameau du Ver à Val, dans le département de Seine-Maritime.
ACTUALITES DE MON REFUGE
Alors que je n'avais, jusqu'à présent, observé qu'épisodiquement des verdiers d'Europe, un groupe de cinq ou six individus fréquente très régulièrement les mangeoires depuis maintenant environ un mois. Ils ne vont pas directement dans les mangeoires mais récupèrent au sol ce que les mésanges, sittelles, moineaux ou autres merles ont fait tombé. Hier, 9 février 2014, j'ai pu observer tout l'après-midi un groupe d'une vingtaine de pinsons du nord. C'est seulement la deuxième annnée que j'observe cet oiseau. L'année dernière c'était vers la mi-mars. Je n'en ai vu qu'un seul qui est resté environ deux jours pour s'approvisionner dans une mangeoire. J'avais pensé qu'il faisait une étape sur la route de sa migration vers le nord. Cette année, et à cette époque, je penche plus sur les effets d'un hiver doux qui les a incités à ne pas descendre plus au sud.
DESCRIPTION DE MON REFUGE
En 1980 nous avons acheté un corps de ferme implanté sur un terrain de 7 250 m² en plein cœur du Pays de Caux, à Hautot le Vatois, dans le hameau du Ver à Val. Notre terrain est bordé au nord et à l'ouest de talus planté de hêtres, de chênes, dont quelques uns sont certainement centenaires, et que j'ai complété par des châtaigniers.
Cette acquisition représentait pour nous l'occasion de réaliser un rêve : créer un petit domaine dans lequel nous pourrions cultiver fleurs, fruits et légumes, élever volailles, lapins et moutons et préserver la nature.
Les premiers travaux ont consisté à faire un grand nettoyage. Nous avons ainsi sorti de ce terrain une grande benne de ferraille de toute nature, démonté quelques appentis en piteux états, dont un abritait les "commodités" de la maison (une planche percée au-dessus d'un seau émaillé, encore plein !!) et remis en culture le potager envahi par les herbes et dans lequel avait été brûlé tout ce dont les héritiers de la précédente propriétaire ne savaient que faire.
Dès le printemps 1981, un petit coup de propre a été fait dans le poulailler et nous avons acheté nos premières volailles. Quel plaisir de manger des "vrais" poulets et de "vrais" œufs issus de poules qui ont mangé ce que mange normalement une poule : céréale, verdure et insectes prélevés dans la nature. Depuis nous ne mangeons que cela et en faisons profiter au passage la famille.
L'hiver suivant nous avons commencé les premières plantations en vue de la création d'un petit bois sur une surface d'environ 1 200 m², d'une bordure de petits fruits rouge et pour renouveler le verger qui était en partie vieillissant, mais en prenant garde de préserver les pommiers de variété locale (bénédictin et reinette de Bailleul notamment).
Bien entendu, dès le début nous avons aménagé et entretenu notre petit domaine en bannissant pesticides et engrais chimiques. Si les premières années nous avons dû recourir à quelques traitements biologiques contre pucerons et chenilles ou la bouillie bordelaise contre le mildiou, le pulvérisateur reste désormais quasiment tout le temps sur son étagère à prendre la poussière. Il y a suffisamment de fleurs, graminées, haies et refuges divers et variés (tas de bois, compost, bâtiments) pour attirer oiseaux, insectes prédateurs et autres hérissons.
En mars 2009 nous avons réalisé un nouveau rêve : le creusement d'une mare d'une vingtaine de mètres carrés. C'est impressionnant la vitesse à laquelle elle a été colonisée : trois jours après sa mise en eau nous avons observé un premier notonecte, au mois de mai une grenouille verte et les premières libellules déprimées. Depuis chaque printemps nous sommes en admiration devant les larves qui sortent de la mare pour s'installer qui sur une plante, qui sur un mur pour opérer leur transformation. Le printemps suivant c'était le tour des tritons alpestres et des tritons communs, des æschnes et des agrions bleu métallique, des dytiques et des gerris, plus tous les insectes d'eau que je suis bien incapable d'identifier.
Quel plaisir aussi d'observer les oiseaux de toute sorte venir s'y désaltérer ou s'y baigner. Quel spectacle que de voir les hirondelles rustiques aborder la mare en escadrille et raser la surface de l'eau comme un canadair pour venir boire et même parfois plonger sous l'eau et ressortir après un bain express. J'en ai malheureusement retrouvé une un matin noyée, elle avait certainement mal calculé son coup. Elles nichent chaque année dans le garage que nous laissons ouvert de fin mars à septembre pour qu'elles puissent retrouver les nids fabriqués les années précédentes. Nous en comptons désormais huit et avons dénombré une même année la naissance de plus de trente oisillons. Pendant cette période c'est la voiture qui couche dehors parce que sinon il faudrait la couvrir pour éviter les déjections.
Depuis maintenant trois ans j'ai commencé un décompte des espèces d’oiseaux que j'ai pu observer dans notre domaine. J'en suis à trente-neuf dont voici la liste par ordre alphabétique :
1 Accenteur mouchet
2 Bergeronnette
3 Buse variable
4 Chardonneret
5 Chouette effraie
6 Chouette hulotte
7 Corneille
8 Étourneau sansonnet
9 Épervier d'Europe
10 Faucon pèlerin
11 Faucon crécerelle
12 Fauvette à tête noire
13 Fauvette des jardins
14 Geai
15 Gobemouche gris
16 Grimpereau des jardins
17 Grive litorne
18 Grive musicienne
19 Grive draine
20 Hirondelle rustique
21 Martinet
22 Merle
23 Mésange bleue
24 Mésange charbonnière
25 Mésange à longue queue
26 Mésange nonnette
27 Moineau domestique
28 Pic épeiche
29 Pic épeichette
30 Pigeon ramier
31 Pinson des arbres
32 Pinson du nord
33 Pivert
34 Pouillot véloce
35 Rougegorge
36 Sittèle torchepot
37 Tourterelle turque
38 Troglodyte mignon
39 Verdier d'Europe
Les périodes de grands froids et donc de nourrissage sont des moments propices à l'observation et à la photographie. Les mésanges bleues sont les premières et les moins farouches à se suspendre aux boules de graisse et à venir picorer les graines. Viennent ensuite les mésanges charbonnières et les mésanges nonnettes, ces dernières ne restent généralement pas très longtemps ; elles prennent une graine et vont plus loin dans un arbre pour la manger. Les rougegorges sont aussi des assidus des espaces de nourrissage, même si leur observation demande à savoir garder une certaine immobilité. Cet hiver 2012-2013, les sittelles torchepot se sont invitées au festin et sont très assidues. Elles n’hésitent pas à chasser les autres occupants qui attendent alors leur départ pour se servir à nouveau. Quand le froid se prolonge, on peut voir alors les merles, les moineaux domestiques et les pinsons venir récupérer les graines tombées à terre. Certains acceptent de cohabiter, comme les merles, les moineaux et les pinsons, mais d'autres, comme les mésanges, sont moins partageurs et n'hésitent à chasser les intrus.
J’ai pu observer cet hiver l’évolution du comportement d’un pinson des arbres. Tout d’abord, comme ses congénères, il se contentait de récupérer ce qui tombait au sol après le passage des mésanges sur les boules de graisse. Puis, je l’ai observé voleter tout en picorant dans celles-ci. Et enfin, quelques jours plus tard, il s’y est suspendu à la façon des mésanges. Est-ce par imitation ou apprentissage ? Je ne saurais dire mais c’était tout à fait passionnant à observer.
Au printemps 2011, nous avons installé pour la première fois un nichoir (celui offert par la LPO lors de notre inscription) et nous avons eu le plaisir de le voir occuper deux fois. La première fois au début du printemps par un couple de mésanges charbonnières, puis une deuxième par un couple de mésanges bleues.
Désormais à la retraite, j'ai confectionné plusieurs nichoirs : un deuxième pour mésanges, un semi ouvert pour les sittelles ou les rougegorges et un pour les chouettes hulottes. Ils sont en place et j'espère qu'ils auront le même succès que le premier, ainsi qu’un deuxième plateau de nourrissage que j’ai installé de l’autre côté de la maison ; ce qui multiplier mes points d’observation.
MES AMENAGEMENTS NATURELS
En cliquant sur « modifier » (à droite), vous pouvez indiquer les aménagements entrepris sur votre Refuge :
Par exemple :
-Quels nichoirs et/ou mangeoires vous avez posés pour les oiseaux,
-Quels gîtes pour les insectes ou les mammifères (hérisson, chauves-souris…),
-Quelles plantations pour les insectes et les oiseaux (arbustes à baies…),
-Construction d'un point d'eau,
-Construction d'un tas de bois, d'un compost.
Vous pouvez illustrer cette rubrique de photos numériques sans toutefois dépasser le format image web 300 x 400 pixels, et aussi de schémas explicatifs (dessin scanné par exemple au format jpeg).